Dans la famille Roth, il n'y a pas que Deruber a avoir du talent.
Il y avait Thierry, le fils aîné dont il faut se souvenir.
En janvier 2013 il aurait fêté ses 60 ans et ceci est l'occasion de lui rendre un hommage via internet.
Son père, son frère Didier et moi-même (James) invitons par tous moyens (ce site, Facebook, courrier, téléphone...)
ceux qui l'ont connu, aimé à participer à la création d'un album « vivant » de photos, de propos, de lettres, de vidéos, etc.
Thierry Roth-Platen était à la maturité de son talent quand la maladie contre laquelle il luttera sans faille à fini par réduire au silence une voix d'une rare étendue de tessiture.
Souvent appelé le « Klaus Nomii » français, il préférait vouer une admiration inconditionnelle à Maria Callas.
Pratiquant la voix de ténor à la française : une voix de ténor aigu et très souple et très agile, maîtrisant parfaitement la voix mixte, mêlant des résonances de tête et de poitrine, permettant des pianissimi très aigus (Alain Vanzo, Léopold Simoneau, Georges Thill, etc.) il ajouta fièrement à son patronyme le nom de jeune fille de sa mère (Marguerite Platen),
chanteuse à l'Opéra de Strasbourg et élève de Georges Thill. Il ne la connaîtra, hélas, que peu de temps.
Bien qu'affaibli, il enregistra un dernier 45 tours pour graver à jamais la richesse de son talent.
Écouter la face 1 (Zumba). Le vinyle original est encore en vente chez : brhttp://www.priceminister.com/s/zumba+thierry+roth+platen
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A la demande générale de jeunes femmes et de femmes restées jeunes, voire du kiné, le webmaster à mis en ligne les dernières audaces graphiques et impertinences chromatiques d'un Deruber quasi ressuscité.
Pour les découvrir cliquer ICI, pour soutenir son combat avec les créances laisées par des amitiés frelatées, merci de lui téléphoner.
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De la Finlande à la Grèce, dans l'Europe et la France profonde, Deruber a
été un quêteur de lumières et de rencontres
d'hommes et de femmes (souvent). Les traces de son insatiable
besoin de faire partager ces émotions et passions ont figuré
dans plus de trente expositions. Autant d'articles critiques
ou élogieux témoignent de sa remise en question permanente
tant technique qu'humaine.
Auteur de fresques murales il
s'exprime aussi bien dans une démesure atavique que dans
un minimalisme graphique.
Né en 1938, Deruber n'est pas
au sommet de son art mais toujours au pied d'un mur dont il voudrait
en faire un passage vers l'imaginaire.
(Extrait du site de l'Aïda) Lien
vers le site ICI
"Réincarné en parangon d’immoralité, en maître de destinées parallèles
ou en philosophe du pragmatisme selon les ans et les critiques, Deruber
a 7 vies pour ressusciter encore et encore l’amour du beau dans des
instantanés à voir et revoir en exposition et en atelier." (Jean
Zierre)
"Epurant la figuration jusqu'à friser l'abstraction, le style de
Deruber traduit sa vision très personnelle des choses, voguant de
l'imaginaire à l'irréel, tout en se référant à un sujet précis,
paysage, nu ou fleurs. Art avant tout impulsif, spontané, sensitif qui
ne laisse que peu de place à l intellect, à la raison, ce qui nous vaut
des toiles traitées avec fougue, pétries dans une matière généreuse. »
(Paul S. PICARD)
"Deruber cherche à induire, par la représentation physique, trait et
couleur, un monde accroché au réel mais qui laisse, par le rêve de
celui qui le regarde, ressentir une émotion propre et renouvelable à
l’infini."
(Extrait
du site "Les
ateliers ouverts") Lien vers le site ICI
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